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  " Did you call a Doctor ? "

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MessageSujet: " Did you call a Doctor ? "     " Did you call a Doctor ? "  Icon_minitimeSam 23 Aoû - 15:59
 " Did you call a Doctor ? "  Medeci10
Dr. Jimmy S. Cutler

Feat. Mihai Mihaeroff de DOGS: Bullets & Carnage


Qui suis-je ? Voilà une bonne question. Je m'appelle Dr. Jimmy Sheeran Cutler, j'ai 45 ans.. Je suis de nationalité anglaise, né à Cardiff. Aujourd'hui je suis un Civil, et mon métier était médecin. Du point de vue de la race je suis un humain. Sinon, je suis veuf et puisque tu es si curieux, sache que je suis hétéro.



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◘ Il a du mal à ne pas venir en aide au plus démuni. En fait, malgré le fait qu’il n’exerce plus réellement dans les règles, il donne des soins gratuits à ceux qui en font la demande.
◘ Il a la phobie des bruits forts et brefs, comme des éclatements, ou des explosions. Des bruits de pistolets tirés à côté de lui le panique.
◘  Vous l’aurez compris, Jimmy n’aime pas les armes à feu. En fait, il n’aime pas les armes tout court. Même s’il en a, car il sait se protéger malgré tout, il n’aime pas s’en servir. Et n’aime pas quand les autres s’en serve.


What do you see in your mirror ?

« Je ne suis pas l’homme dont tu rêvais, pas vrai ? »



Lettre de Jimmy à sa future femme. 1842

Ma chère Emily,
Depuis quelques mois, je me dis que je n’ai aucune chance.
La presse arrive toujours à dégoter je ne sais quel écrivain pour agrémenter leur mensonge politique avec un peu de douceur, et de poésie. Ils ont rajouté récemment un article spécial pour ceux qui aime la lecture. La vraie, selon toi. Et pas ce genre d’ouvrage médical sur lesquels je me suis penché des années durant pour devenir jeune médecin. Tu te moquais souvent de moi, parce que j’avais le nez penché sur le papier. Entrain de gratter je ne sais plus trop quoi avec ma plume. Et toi tu lis encore, ces aventures romanesques dont tu n’arrives plus à te défaire.
Et pourtant ça te fait rêver. Les hommes qui y sont décrit y sont tous beaux, charmants, galants. De vrai gentleman ! Parfois des nobles, avec qui tu aimerais bien faire la conversation. Tu rêves entre les lignes, d’avoir une vie de princesse. De robe, de cadeaux. D’un homme pour te gâter et te rendre heureuse.
Et moi, je ne suis pas ce genre d’homme. Au contraire d’eux, je ne suis pas grand et fort, à l’allure svelte. Je ne suis qu’un garçon à qui on aurait donné trop de soupe, un peu trop grand à ton goût en somme, et l’ossature un peu plus forte. La première fois qu’on s’est rencontré, je t’ai impressionné. Mais pas dans le sens que j’aurais voulu. Je me montrais un peu trop imposant à tes yeux. Je n’étais pas le brun aux yeux bleus dont tu rêvais. Je suis blond. Les yeux clairs, certes, mais ils ne dégagent aucune chaleur au premier regard. Et puis, il y aussi mon visage. Plutôt commun dans son assemble, je ne porte pas moins les marques de mon conflit avec mon frère. Regarde mon nez aquilin, il me l’a offert à mes quatorze ans, quand il avait vu que j’avais eu des sucreries et pas lui. La cicatrice que j’ai sur le côté du front par contre, tu l’as connait. C’est quand j’ai essayé de te défendre quand ton père avait trop bu. La bouteille brisée n’était pas passé loin. Et puis, maintenant j’ai ces lunettes pour améliorer ma vue qui baisse de jour en jour.
Et pour couronner le tout, je ne porte pas de vêtements que tu qualifierais de somptueux. J’ai abandonné les couleurs depuis bien longtemps, car j’aime plutôt la sobriété. Tout ça, tu le sais. Je ne suis pas l’homme dont tu rêvais, pas vrai ? Et pourtant, c’est moi qu’il a choisi ton père. A croire que même quand il a arrêté l’alcool, il a continué à te pourrir la vie.
Mais tu sais, mes patients me font souvent remarquer que mon apparence est tout à fait l’inverse de ce que je suis à l’intérieur. Et j’aimerais que pour une fois, tu apprennes à me regarder comme eux le font, même si je ne peux pas t’y obliger.
Sache que je n’ai jamais voulu me marier avec toi, mais que rien que de savoir que la semaine prochaine nous serons unis, ça me rassure d’avoir enfin trouvée une femme dont je pourrais m’occuper, et rendre heureuse qui sait.

Sincèrement,
Jimmy.



Because everyone is different...

« Parce qu’on peut être un homme du peuple et avoir de la noblesse »


Rapport du Professeur Ezra Wetenhale Warblington sur le patient Jimmy  Sheeran Cutler.
Aout, 1868.

Le patient n°713 est arrivé ce matin dans l’établissement, suite à la mort de sa femme dans de tragique circonstance. Nous avons alors recueillis plusieurs informations pour ce rapport de psychologie du patient, afin d’en tirer les conclusions adéquate pour aider la police de Scotland Yard dans son enquête.
Son entourage affirme donc dans les rapports n°5 et n°10 que le patient était toujours doté d’une très grande sociabilité, même en dehors de son travail. Il était rare qu’il soit distant avec les gens, même avec ceux qu’il ne connaissait pas. Une certaine aisance à s’exprimer même si son vocabulaire était plutôt celui d’un homme du peuple que celui de la noblesse. D’après des recherches, il soignait sans distinction, même s’il aidait surtout les plus pauvres de notre société.
Dans le rapport n°1 est détaillée l’enfance du patient. Il apparait alors très clairement qu’il a fait des études brillantes malgré le milieu modeste dont il faisait partis. Cela démontre qu’il est très intelligent et qu’il a plutôt l’habitude de travailler sur des ouvrages compliqués, voire, dans le rapport n°6, de s’adonner entièrement à des recherches très poussées dans la médecine.
Cependant, dans le même rapport, nous voyons qu’il a tendance à s’y consacrer au point d’en oublier ses besoins vitaux et de se délaisse au profit de la science. La négligence du patient envers lui, en envers sa femme à l’époque, montre clairement qu’il n’était plus capable de distinguer la notion du temps. Le cercle vicieux est sans doute à l’origine de son basculement du mauvais côté.
Quoi qu’il en soit, l’absence de l’ordre dans sa vie suggère que sa femme était celle qui s’occupait de ses dépenses, et non l’inverse. Tout le monde dans son entourage pensait même qu’il était incapable de savoir la vraie valeur pécuniaire des choses de la vie. Le patient était tout simplement incapable d’organiser quoi que ce soit chez lui. Et pourtant, aucun proche n’a parlé d’amusement véritable dans sa vie. Sa passion resta sans doute ses études et la médecine, ainsi que la fragilité de ses patients.
Outre son manque d’investissement dans sa vie personnelle, puisqu’il n’aura jamais d’enfant, le patient parait pourtant être quelqu’un de déterminé pour les valeurs qu’il jugeait essentiel. Un trait de caractère qui, d’après certains patients, l’aurait amené à tuer sa femme. En effet, la famille de la défunte dépeint un portait plutôt violent du patient, même si depuis son arrivée, il n’a en aucune façon utilisé l’intimidation ou la force. Il semblerait qu’il ne soit pas violent donc pour autant.
C’est pourquoi, en ce qui concerne les accusations porté à son encontre, moi et l’ensemble des médecins qui ont travaillés sur ce patient, ne saurait être certains quant à sa culpabilité dans cette affaire. Le patient semble très atteint parce qu’il s’est passé pour le moment, mais il retrouvera sans aucun doute ses capacités psychologique dans les mois à venir. Bien que les séquelles doivent être étudiées par la suite si jamais la cour venait à le disculper. Nous craignons pourtant qu'à l'avenir, il ne sombre dans l'alcoolisme, ou dans une profonde dépression, ce qui pourrait le rendre ses réactions plus violentes.



Once upon a time...

« Agir malgré la peur qui nous tenaille, n’est-ce pas là une forme de courage ? »



L’odeur est infecte. Elle lui prend souvent la gorge, quand il est avec ses patients. Mais il ne l’est pas. Il vient de rentrer dans l’appartement. Cette odeur, elle lui rappelle ses nuits agitées. Souvenir de guerre, cauche-mars qu’il voudrait bien oublier. Soldats démembrés. Plaies béantes et souillées par la saleté. Le visage des hommes. La terreur. Le sacrifice. Pour le pays. La reine. Dans un pays que l’on ne connaît même pas. L’odeur est plus forte dans le couloir. Son cœur s’accélère. Il ose à peine demander. Mais il le fait. Il ne peut que le faire.

« Emily … ? »

Premier diagnostic : Emily, enceinte de sept mois, perd les eaux prématurément, et perd le bébé. Ça n’a pas été facile d’en arriver là. Il la délaissait pour son travail. Car le travail, c’est important pour lui. Pour la médecine, la recherche. La santé. Et il s’en voulait parfois. Mais ils avaient réussi. Ils ont réussi. Un enfant est une bonne chose pour leur couple. Ils avaient traversés de long moment de froid, à cause du cabinet. A cause de son propre frère. Et des sans-abris. De la médecine. Elle n’aime pas tout ça. Non, elle n’aime pas qu’il parle de ça. Elle veut parler de modes, de livres, de rêves. Elle veut rêver. Il n’a rien pour la faire rê-ver. Lui il ne rêve pas. Il fait des cauchemars. Ou alors il est trop fatigué pour le faire. Alors un enfant, ça peut les faire rêver à deux. Ça pouvait …
Il fouille, ouvre les portes une par une. Appelle. Sans réponse. La peur. La peur revient. La panique. Il ouvre la porte du salon. Elle est là. Sur le sol. Une mare de sang. Il s’avance, trébuche sur un objet. S’abaisse, tremblant. Le ramasse. Un revolver. Il n’arrive plus à le lâcher. Regarde sa femme. Regarde l’arme. Tremble et panique.
Deuxième diagnostic : Emily, enceinte de sept mois, se fait assassiner par balles, sept dans le bas ventre. Sept. Sept balles. Sept mois. Il a trente-sept ans. Elle en a trente-quatre. Trois et quatre. Sept. On est le 7 juillet 1881. Un moins huit. Sept. Panique. Le chiffre sept reste dans son esprit embué.
Il n’arrive pas à bouger. Il la regarde. Il revoit sa vie défiler. Son enfance dans une petite famille de classe moyenne. Le précepteur que son père a pu lui offrir, malgré le fait qu’il n’a pu aller au Weston College. La jalousie de son frère, qui n’a pas les prédispositions pour étudier comme lui. La cicatrice créée sur son visage, à cause d’une dispute violente avec lui. Les études de  médecine, son début de carrière dans le Royal Hospital. Son premier vrai patient. La mère d’Emily. Morte d’une pneumonie sévère. Le deuxième patient. Le père d’Emily. Un poivron qui ne pouvait dire non à l’alcool. Problème de foie. Homme froid, calculateur, mauvais. Malheureux d’avoir perdu sa femme. Sa première rencontre avec Emily. Son échec avec elle, la première fois. La mort du père d’Emily. Mais sa bénédiction à la demande de Jimmy. Son ma-riage avec elle, malgré le manque flagrant d’amour envers lui. Elle lui reproche d’avoir tué ses parents pour l’obtenir. Même si elle sait que c’est faux. C’est juste de la colère. Et la peur.
Les années passent. Les cris et les pleurs continuent. Il n’est pas là pour elle. Il travaille. Il recherche. Il aide les autres. Sans l’aider elle. Sans s’occuper d’elle. Elle le lui reproche. Ils ne sont pas heureux. Alors il dé-cide de lui offrir ce qu’elle veut. Il monte son cabinet privé, et lui offre les livres, les robes, les chapeaux, les bijoux. Tout ce qu’elle lui demande, il le lui donne. Même de l’amour. Même un enfant. Pour être heu-reuse. Pour qu’ils soient heureux.
L’arme dans les mains, il craque. Tout est fini. Pas d’enfant. Pas de femme. Pas de fin heureuse. Il vérifie l’arme. Il y a encore une balle. Il remonte sa main, le canon glissant sur sa joue, finissant sur sa tempe. Il tremble. Mais ne peut pas tirer. N’arrive pas à tirer. Son doigt glisse sur la détente. Le coup est parti. Il a retiré sa tête à temps. Lâche. Faible.
Le bruit a attiré les Yard. Ils sont rapidement là. Il n’y a plus de balle dans le revolver. Jimmy la laisse tom-ber sur le sol. Il est menotté. Le visage des Yard, choqués. Pas autant que lui. Il sait.
Leur diagnostic : Emily, enceinte de sept mois, se fait assassiner par balles dans le ventre par son mari, Jimmy Sheeran Cutler, médecin de fonction. Amour passionnel qu’un enfant ne pourrait détruire. C’est le mauvais diagnostic. Ils n’en savent rien. Il ne dit rien.
Il est accusé de meurtre. Envoyé dans un département de psychiatrie pour diagnostic. Dans le rapport, ils omettent de mentionner le chiffre sept qui revient toujours dans sa bouche. Il est innocenté. Il ne sait pas pourquoi. Il reste en hôpital pendant des années. Il ne sait plus trop quand il ressort. Quand ils croient qu’il va mieux. Qu’il a oublié. Quand ils croient qu’il a avalé leur médicament « miracle ». La vengeance s’insinue pourtant dans ses veines. Dans son sang.
Il reprend son appartement. Il s’occupe de sans-abris. Il ne reprend pas le cabinet, car la vie humaine n’a pas de prix. La santé doit être gratuite.  Il a toutes les connaissances et les instruments pour aider tous ceux qui le demandent. Il se fait une petite réputation dans Londres, mais il refuse de soigner les nobles. Il n’aime pas l’injustice. Il n’aime pas les armes à feu. Il n’aime pas les meurtriers. Il veut venger sa femme. Quel qu'en soit le prix. Il a déjà tout perdu.



Behind the Mask

« You know me. »


On te surnomme ABHESS et tu as une bonne paire d'année. Tu seras présent 5/7 j. Pour terminer, ce que tu penses du forum est très intéressant quoi qu'un peu inactif..


(c) Rédigé par Abhess


Dernière édition par Jimmy S. Cutler le Mar 9 Sep - 16:41, édité 5 fois
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Scott Evans

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MessageSujet: Re: " Did you call a Doctor ? "     " Did you call a Doctor ? "  Icon_minitimeSam 23 Aoû - 16:15
Bienvenu Jimmy !

Je commenterais ta fiche lorsqu'elle sera complétée, mais de ce que j'ai lu pour le moment c'est très fluide et agréable. Je suis curieuse de voir l'histoire ^^.

Nous aurons bientôt tous les personnages de Dogs, après Heine, Badou et Mihai Wink
Mais c'est une bonne chose car c'est un très bon mangas qui mérite d'être connu, nom de Zeus !
Quand à l'inactivité, là il s'agit d'un gros débat hélas.

Tu n'auras qu'à prévenir quand tu auras terminée ta fiche ♫

(au fait: Petit nouveau ou dc ?)
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Lawrence Blackwood

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MessageSujet: Re: " Did you call a Doctor ? "     " Did you call a Doctor ? "  Icon_minitimeSam 23 Aoû - 16:25
Welcoooome ! \o/

J'ai hâte de lire la suite !
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MessageSujet: Re: " Did you call a Doctor ? "     " Did you call a Doctor ? "  Icon_minitimeSam 23 Aoû - 17:40
Vous remerciant tout deux. J'avais envie d'un perso qui change des "jeunes" qu'on prend toujours. Et j'aime les persos de DOGS.
Je sais pour l'inactivité. Et je crois que c'est le cas de tous les forums rpg en général.
Pas de problème pour prévenir. Je suis généralement bien discipliné.
(Oui c'est un DC — j'ai d'ailleurs répondu à un rp avant de me rendre compte que j'étais encore sur ce compte. Du coup j'ai du supprimer en vitesse. Plus tête en l'air on meurt.—)
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Scott Evans

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MessageSujet: Re: " Did you call a Doctor ? "     " Did you call a Doctor ? "  Icon_minitimeSam 23 Aoû - 18:12
Michael Perry je présume ?
Je ne sais pas pourquoi mais je me doutais que c'était toi. Une intuition.
(et aussi une observation vu que je t'ai vu connecté au même moment)

J'espère sincèrement que le soucis de l'inactivité va se résoudre.
Sinon, bonne chance pour la fin de ta fiche ^^
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MessageSujet: Re: " Did you call a Doctor ? "     " Did you call a Doctor ? "  Icon_minitimeMer 27 Aoû - 10:13
Yep, it's me.
(intuition, ou observation. Dans tout les cas, tous le monde peut le deviner aisément je pense.)

La fiche est officiellement terminée. (enfin de mon côté)

EDIT : Après coup je me rend compte qu'il y a un bug au niveau de la fiche. Pour les citations en dessous des titres qui chevauchent. J'arrive pas à rectifier le tir. Je crois que c'est un bug du modèle de fiche en fait.
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Scott Evans

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MessageSujet: Re: " Did you call a Doctor ? "     " Did you call a Doctor ? "  Icon_minitimeMer 27 Aoû - 10:37
Je vois effectivement les soucis de codes. Malheureusement je ne suis pas habilité à m'en occuper je n'y connais rien. Quitte essaye de revenir à la ligne comme tu l'as fait pour ta description physique. En mettant un espace ça devrait déjà aérer ça. Après je vais demander à Clyde d'y jeter un coup d'oeil.

Pour ce qui est de l'histoire, très sombre, mais assez fascinante je dois l'admettre. Moi qui aime ce genre d'ambiance, avec cette musique on s'immerge totalement.

Pour ma part ta fiche est validée, il n'y a plus qu'à attendre l'avis du grand chef. ♫

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Lawrence Blackwood

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MessageSujet: Re: " Did you call a Doctor ? "     " Did you call a Doctor ? "  Icon_minitimeMer 27 Aoû - 10:57
Le grand chef dit oui ! /sbaff/

Triste histoire que voilà tout de même ! Viens voir Papa Law pour qu'il te fasse un gros câlin !

Okay, je sors !

Bref, bref, fiche validée ^.^
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MessageSujet: Re: " Did you call a Doctor ? "     " Did you call a Doctor ? "  Icon_minitimeMer 27 Aoû - 11:17
Je ne suis pas un homme à câlin, mais c'est si gentiment proposé, ça ne se refuse pas.

Merci merci pour le reste!
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Lawrence Blackwood

Lawrence Blackwood

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MessageSujet: Re: " Did you call a Doctor ? "     " Did you call a Doctor ? "  Icon_minitimeMer 27 Aoû - 11:21
Huhuhuhu, vous, vous me plaisez, Monsieur ! /sbaff/
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Clyde Mac Lochlainn

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MessageSujet: Re: " Did you call a Doctor ? "     " Did you call a Doctor ? "  Icon_minitimeMer 27 Aoû - 18:54
Problème de mise en page réglé. Encore une mise à jour de forum actif qui fout la merde ! o/

En gros, pour info pour la prochaine fois, y a un saut de ligne entre les petites citations et le reste du texte pour chaque partie. Et à chaque fois qu'on envoie le message, maintenant, il supprime un saut de ligne. Donc pour vous autres administrateurs, si ça arrive de nouveau quand je suis pas là, la solution est très simple : mettez deux sauts de ligne à cet endroit ^^

J'ai pas le temps de m'occuper de changer le code pour que ce ne soit pas gênant à l'avenir (ni de lire la fiche et je m'en excuse), donc faudra s'en contenter pour le moment ^^

Et re-bienvenue sur le forum, mon cher \o
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MessageSujet: Re: " Did you call a Doctor ? "     " Did you call a Doctor ? "  Icon_minitime
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